La neurochirurgie éliminerait la partie de mon cerveau provoquant l’épilepsie. Une partie de la taille d’un ongle serait retirée et, si tout se passait bien, je n’aurais plus à m’inquiéter des crises.
Lewis célèbre une victoire en cendres contre la Grande-Bretagne en 1988.Credit: Photos de la LNR
Pour moi, il n’y avait pas d’option. Je ne voulais plus ce sentiment de me réveiller et de me demander quand les crises frapperaient.
Je suis allé à l’hôpital Austin de Melbourne en février 2007, sous la garde de Professeurs Sam Berkovic et Gavouette.
Pendant huit jours avant la chirurgie, j’étais à l’hôpital et connecté à des moniteurs pendant que les crises étaient induites afin que l’équipe médicale puisse déterminer si la chirurgie en valait la peine.
La chirurgie, le 22 février 2007, a été un succès, supprimant une pièce de cinq centimètres de 2,5 centimètres – plus que ce ongle. Si on m’avait parlé de cela avant la chirurgie, je ne suis pas sûr que j’aurais pris de l’avant.
Lewis jouant à la ligue de rugby en 1991.Credit: photos de LNR
Mais je suis content de l’avoir fait parce que cela a changé ma vie. Il a fallu des mois pour récupérer mais, un an plus tard, je pouvais à nouveau conduire une voiture et ne pas m’inquiéter d’une crise …