«L’ours» et «lent» n’appartiennent pas à la même phrase.
Entre les matchs de cris induisant l’anxiété et les moments de chaos complet et total qui aura près de la rupture, le spectacle à plusieurs reprises a fait un meurtre de sa représentation de la condition humaine (profondément baisée).
Carmy (Jeremy Allen White) à plusieurs reprises (par inadvertance) arrive à sa manière à cause des traumatismes et des angoisses provenant de son passé personnel et professionnel. Richie (Ebon Moss-Bachrach) tournant une nouvelle feuille, bien qu’un changement positif pour le cousin autrefois sans direction, découle d’un désir de remplir une existence solitaire. Pendant ce temps, Sydney (Ayo Edebiri) est constamment aux prises avec son potentiel pour diriger sa propre cuisine et son désir de faire fonctionner un environnement toxique avec son partenaire et son idole.
Pourtant, alors que «l’ours» a précédemment montré ces traumatismes et ces angoisses au pire et en contrôle de la distribution, la dernière saison de l’émission nous fait sortir de la cuisine pour l’entrée la plus lente et sans doute la plus saine de l’émission à ce jour.
LIRE: Pour déclencher une conversation: Antoinette Jadaone espère que son nouveau film …